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LA BUSINESS LIST D’ÉMILIE ALBERTINI, FONDATRICE DE THE DRESSING THERAPY

Vous pouvez lire l’article ci-dessous ou visionner la vidéo IGTV

 

 

Nous sommes heureuses de vous retrouver pour un second live de « la Business list de… » avec la pétillante Émilie Albertini, fondatrice de The Dressing Therapy. À force de rencontrer des femmes désespérées de n’avoir jamais rien à sa mettre alors que leur placard débordent, elle a décidé de partager ses connaissances en mode, sa vision décomplexée du corps des femmes, son énergie débordante, pour donner enfin la clé d’une garde-robe organisée, intelligente et facile à vivre à toutes ces consommatrices en mal d’inspiration, déçues d’acheter tant et de porter si peu.

Le confinement et le grand succès des Live Instagram qu’Emilie a animé pour le compte de marques prestigieuses aussi bien mode que beauté (Eres, Ba&sh, Aime Skincare, Prescription Lab), on vu naitre la nouvelle formule de THE DRESSING THERAPY sous forme digitale cette fois en direct sur ZOOM.

Un format inédit, une nouvelle façon de communiquer, un succès immédiat.

 

To do list or not ?

Je dirai que j’ai une sorte de planning virtuel, j’ai vraiment tout dans mon cerveau, je sais précisément que cette semaine je dois faire telle chose et telle chose. Globalement j’ai tout dans ma tête. Je pense qu’on a toutes des compétences innées dans l’organisation et moi je suis organisée dans ma désorganisation et dans ma tête. Je ne suis pas une coureuse de fond, je suis une sprinteuse. Je travaille surtout dans l’urgence, pas non plus à la dernière minute mais le travail est toujours fait puisqu’on a toutes et tous des échéances professionnelles. Donc en global, je sais ce que j’ai à faire mais je ne l’écris pas, c’est même un peu culpabilisant parce que quand  je lis des tips de girl boss etc je ne fais pas du tout tout ça. 🙂

Papier ou digital ?

Plutôt mentale mais si ça devait être l’un ou l’autre c’est papier, j’ai toujours un cahier à spirale à coté de moi mais tout est en désordre à l’intérieur. En revanche, lors de Masterclass par exemple, j’ai toujours un plan défini écrit pour éviter de partir dans tous les sens au cas où mais je laisse libre court aux imprévues. J’ai toujours mine de rien un plan en tête, pas du par coeur, mais je sais où est ma structure avec mon intro, mon plan.

Première chose que vous regardez sur votre téléphone le matin ?

Mon téléphone n’est plus dans ma chambre parce que j’ai des problèmes de vue malheureusement à cause du téléphone mais la première chose que je regarde c’est Instagram. 

Première chose que vous regardez sur votre ordinateur ?

Je check mes mails, je regarde si je n’ai pas de nouvelles participantes pour les Masterclass, je check les ventes, les partenariats en cours.

Vous travaillez seule ou avec une équipe ?

Depuis le début je travaille avec une freelance que je considère comme mon bras droit, elle m’aide beaucoup. Dès le début on ne peut pas tout faire mais tout ce qui est contenu, concept, développement (contenu artistique), ça c’est moi.

Avez-vous un modèle de réussite féminine ?

Je n’ai pas de modèle en tant que business girl car ce n’est pas quelque chose qui m’impressionne mais en revanche j’ai des modèles de femmes qui ont changé le court de la vie des femmes, comme Simone Vieil par exemple, des femmes extrêmement belles, modernes qui ont fait bouger les lignes, les codes, la société, des chercheurs également, ça se sont des modèles pour moi.

Quelque chose qui vous a aidé dans votre aventure entrepreneuriale ?

Absolument pas, j’ai acheté un bouquin de compta car j’étais larguée. Le seul bon conseil que je donnerai c’est de se lancer. Lance toi tu t’en fous, si tu attends d’avoir le site parfait, c’est pas la peine, si tu réfléchis trop aux détails, c’est une perte de temps d’attendre. Lancez-vous, au pire des cas ça ne marche pas, mais si vous attendez trop, quelqu’un pourrait sortir avant toi le même concept donc foncez avec votre idée fixe et votre plan. Personnellement, je n’ai juste pas la conclusion mais c’est pas grave. les Masterclass ça ne durera pas éternellement mais j’ai déjà la suite. Le concept d’abord, les fioritures ensuite.

Un compte Insta que vous checkez tous les jours ?

Oui i’adore le compte de Céleste Barber, une australienne qui est à mourir de rire, je me rends compte que j’essaie de déculpabiliser de plus en plus, mais je trouve que c’est ce qu’il ce fait de mieux sur Instagram, c’est hyper drôle, elle fait des imitations de mannequins, l’auto-dérision au max. C’est pas parce que c’est sérieux que ça peut pas être rigolo. 

Votre organisation interne à la maison avec ton business en même temps ?

Mon activité est incompatible avec les enfants. J’ai cru que j’allais mourir pendant le premier confinement à la maison d’un burn-out et encore c’était que des lives donc il fallait les préparer. Je fais tout ce qu’il faut pour faire garder mes filles : la crèche, l’école, la nounou et de toute façon j’avais pas le choix. On a toujours eu des nounous mais c’est pas pour autant que je n’ai pas vu grandir mes filles.

Que faites-vous quand vous êtes au creux de la vague ?

J’appelle Carmel (mon bras droit), moi je suis capable de tout abandonner, comme je suis perfectionniste c’est des fois compliqué. Donc le tout c’est de ne pas être seule, être entourée mais j’ai aussi pris deux stagiaires trop mignonnes donc une petite équipe c’est l’idéal.